Catégorie : Publications

  • 15 ans déjà : l’AQIFGA d’hier à aujourd’hui

    15 ans déjà : l’AQIFGA d’hier à aujourd’hui

    Pour souligner les 15 ans de l’AQIFGA, le 30 avril 2021, nous avons tenu l’activité l’AQIFGA d’hier à aujourd’hui. Pour l’occasion, un échange entre Frédérique Voyer, Richard Coulombe et Martin Hébert, ayant tous les trois occupé le poste de président, a porté sur différents moments de l’histoire de l’Association. Voici cet entretien animé par Myriam Lévesque.

  • Pourquoi votre assurance habitation coûte-t-elle plus cher?

    Pourquoi votre assurance habitation coûte-t-elle plus cher?

    Vous avez subi une hausse de prix lors de votre dernier renouvellement d’assurance habitation ? Vous n’avez pourtant signalé aucun changement ni réclamation à votre assureur ? Sachez que le prix de l’assurance habitation est influencé par différents facteurs.

    Quels changements à votre dossier peuvent causer une augmentation de prix?
    Le prix de votre assurance habitation est personnalisé et recalculé à chaque renouvellement. Il est basé sur les particularités de votre dossier, comme :

    • La valeur de vos biens et la valeur de reconstruction de votre résidence – C’est­à­dire l’achat de biens de valeur (œuvres d’art, bijoux) ou des rénovations majeures ;
    • L’utilisation de votre résidence – Par exemple, si vous commencez à exercer des activités professionnelles à domicile ou si vous détenez des biens professionnels d’une valeur importante ;
    • Les réclamations faites au cours des dernières années – À la suite d’un sinistre, les probabilités d’en subir un autre sont plus grandes ;
    • L’année de construction ou de rénovation de votre résidence et de ses composantes – Une toiture à la fin de sa vie utile risque davantage d’être à l’origine d’un dégât d’eau.

    Si vous n’avez aucun changement à votre dossier d’assurance habitation, comment expliquer la hausse de votre prime ?
    Différents facteurs externes amènent les assureurs à revoir leurs tarifs à la hausse afin de rester en mesure de protéger adéquatement leurs clients. Voici les principaux :

    • L’augmentation du coût des matériaux et de la main-d’œuvre – Le prix de l’assurance habitation est basé sur le coût de reconstruction de la résidence à assurer, qui lui, est établi en fonction du prix de la main-d’œuvre et des matériaux.
    • Les dégâts d’eau de plus en plus fréquents et coûteux
    • La multiplication des phénomènes météorologiques extrêmes – Inondations, grêle, verglas, vents violents et tornades augmentent les dommages faits aux résidences. Ces phénomènes peuvent être la source, notamment, d’infiltrations d’eau, de refoulements d’égouts, de dommages divers et de pannes d’électricité.
    • Les conditions hivernales extrêmes – Pendant les épisodes de froid intense, on note, entre autres, une augmentation des incendies causés par l’utilisation du chauffage.

    Bref, ces différents facteurs peuvent causer une rareté de matériaux et de main d’œuvre. En conséquence, les frais de réparation des résidences endommagées augmentent. Ainsi, pour être en mesure de protéger adéquatement leurs clients, les assureurs doivent inévitablement ajuster leurs tarifs.

  • Consultation du CSE – Janvier 2021

    Consultation du CSE – Janvier 2021

    Rien de moins que 30 membres ont répondu à l’invitation de l’AQIFGA relativement à la consultation du CSE sur les impacts de la pandémie dans le monde de l’éducation. Une fois les rencontres virtuelles terminées et les réponses au questionnaire compilées, le rapport de l’AQIFGA a pu être déposé au CSE avant le 3 février. Merci à tous pour votre contribution!

     

    Consultation -CREBE2020

  • Le mal de vivre chez les jeunes : pourquoi nos centres de formation doivent-ils s’en mêler et comment?

    Le mal de vivre chez les jeunes : pourquoi nos centres de formation doivent-ils s’en mêler et comment?

    Monsieur Alain Drolet prépare une nouvelle conférence disponible pour 2021-2022.

    Les circonstances de la COVID-19 nous ont révélé que rien n’est acquis et que la vie telle qu’elle se présente est pavée d’incertitudes. Cette période pandémique nous a rappelé la fragilité de nos existences  mettant en lumière les limites d’une croissance technologique et économique ainsi que les aspects inquiétants pour le bien être des individus. Elle a braqué ses projecteurs sur les failles et les aberrations de nos sociétés modernes, en amplifiant les problèmes que nous n’avions pas su régler. Les jeunes de 15 à 25 ans en particulier seraient touchés par ces dérèglements existentiels et seraient les premiers à en payer le prix. La pandémie a juste mis en lumière ce qui n’allait déjà pas dans cette catégorie de la population, bien avant la pandémie et ce malgré de multiples avertissements (Goyette et autres, 2015; Gauthier,2010 et Taylor,2007).

    Depuis ces trente dernières années, le mal de vivre est un thème souvent évoqué  dans la littérature scientifique rappelant  qu’il est  à la fois l’expression  de dérives existentielles et d’inégalités sociales récurrentes et en croissance, la conséquence d’une société en déficit d’altruisme et de reconnaissance  au profit de valeurs mercantiles et utilitaristes (Aubert, 2003 : Rosa,2015; Ehremberg,2015;Ricard,2017).

    En première partie de cette conférence, nous discuterons de ce malaise social touchant de plus en plus de jeunes et jeunes adultes, les figures qu’il peut prendre ainsi que les principaux facteurs contributifs, tiraillements et effets corrosifs produits sur eux. En deuxième partie : pourquoi faudrait-il que nos centres de formation s’en mêlent?  Et, dans une école revue et réorientée, sur quel nouveau paradigme éducatif devons-nous tabler pour dénouer les nœuds de ce malaise qui touchent  de plus en plus nos clientèles, à tout le moins d’en prévenir les dérives potentielles sur leur vie? Un échange interactif entre les participants et le conférencier viendra clore cette conférence.

    Pour plus d’information, contactez alaindrolet@hotmail.com

  • Lancement de la période de mise en candidature pour les Prix Bernard-Normand 2021

    Lancement de la période de mise en candidature pour les Prix Bernard-Normand 2021

    La période de mise en candidature pour les Prix Bernard-Normand est maintenant ouverte. L’édition 2021 marque un changement du format des Prix. Chaque année, l’ICÉA célébrera des adultes en apprentissage dans un des secteurs de l’éducation des adultes. En 2021, les apprenantes et les apprenants du secteur public seront célébrés, suivront ensuite le secteur communautaire en 2022 et celui de l’emploi en 2023. L’ICÉA associe désormais le Prix Bernard-Normand à des initiatives de célébration des apprenantes et des apprenants réalisées par ses membres et ses partenaires. Les organisations célébrant les adultes en apprentissage sont donc invitées à déposer à l’ICÉA une demande d’attribution d’un Prix Bernard-Normand.

    Pour obtenir de l’information détaillée sur le Prix Bernard-Normand, incluant les critères d’octroi du Prix et le formulaire de demande d’obtention d’un Prix, visitez ICÉA Prix Bernard Norman.

  • Conseil d’administration

    Conseil d’administration

    Le 1er octobre dernier, l’Association a tenu son assemblée générale annuelle (AGA) en ligne. Celle-ci a généralement lieu lors du congrès et ce dernier avait été annulé en raison de la pandémie.

    Lors de l’AGA, les trois administrateurs sortants : Hélène St-Laurent, Luc Bertrand et Myriam Levesque sont réélus.

    C’est lors de leur rencontre du 28 octobre, que les postes ont été distribués.

    À la présidence : Martin Hébert

    À la vice-présidence : Hélène St-Laurent

    À la trésorerie : Susie Faguy

    Luc BertrandMyriam LevesqueKathy Sauvageau et Richard Painchaud sont impliqués dans différents comités et collaborent à différentes tâches au sein de l’organisation.

    Félicitations aux administrateurs et merci de votre engagement.

  • Des nouvelles de l’AQIFGA

    Des nouvelles de l’AQIFGA

    Les conséquences de l’annulation du Congrès 2020 sont multiples et l’une d’entre elles, c’est que plusieurs membres qui renouvellent habituellement leur adhésion tout en s’inscrivant n’ont pas pu le faire. À la suggestion d’une membre, nous avons approché tous les centres de services scolaires en juin en expliquant que des formations seraient offertes aux membres cet automne. C’est ainsi que, exceptionnellement cette année, plusieurs ont accepté de payer l’adhésion des membres en nous disant l’importance pour eux que des intervenants puissent être membres et que l’AQIFGA poursuive sa mission de soutenir le réseautage.

    L’AQIFGA tient à remercier tous les centres de services scolaires qui ont accepté de renouveler la cotisation du personnel à leur service, qui sont aussi membre de L’AQIFGA. Un sincère merci à tous. 

    Si vous n’êtes toujours pas membre de l’AQIFGA, nous vous invitons à adhérer dès maintenant en vous inscrivant ici : http://aqifga.com/adhesion .

  • Les impacts de la Covid-19 en éducation

    Les impacts de la Covid-19 en éducation

    Au printemps dernier, le Conseil supérieur de l’éducation a mis en place des Cellules-Conseil qui regroupent des acteurs des divers ordres d’enseignement. Ces cellules, sous la forme de visioconférences, permettent au CSE de rester en contact avec la réalité terrain que nous vivons dans le contexte pandémique. Et la FGA n’est pas en reste puisque j’ai été sollicitée pour en être la porte-parole. C’est ainsi que sur une base régulière, je communique au CSE les embûches que nous rencontrons dans notre milieu depuis avril. Le délai avant de recevoir des balises claires, l’évaluation, l’obligation de faire les évaluations orales en présence, l’accès aux laboratoires sont des exemples d’irritants que j’ai pu mettre en lumière.
    Plusieurs rencontres sont prévues d’ici les Fêtes. Afin d’être le plus représentative possible, je vous sollicite à mon tour afin de m’informer des écueils que vous rencontrez. Je me ferai un devoir de les transmettre lors de mes prochaines “cellules”. Contactez-moi au helene.st-laurent@aqifga.com

  • Quand l’école laisse croire à des élèves qu’ils sont moins bons apprenants et moins bien comme personne que les autres

    Alain Drolet, PH.d., Retraité de l’enseignement universitaire. Pour consulter l’article complet :

     

    Le texte proposé se veut un plaidoyer en faveur d’une meilleure reconnaissance envers les élèves qui ont subi ou subissent encore des formes de dévalorisation de leur personne durant leur parcours scolaire. Des élèves qui ont enduré l’école et ont entretenu envers elle de la rancune ou de la déception, jusqu’à intérioriser le fait qu’ils sont moins bons apprenants et moins bien comme personne que les autres élèves. Le raisonnement qui prévaut dans ce texte part du fait que notre système éducatif, en se targuant du grand principe de l’égalité des chances pour tous, a perpétué bien malgré lui une disparité de reconnaissance envers ses élèves ; le mot reconnaissance évoquant par-dessus tout le droit le plus élémentaire qui soit, l’estime sociale, demeurant encore le premier lieu où on se l’approprie.

     

     

    Appuyé par de récentes études, de commentaires relevés auprès de différents acteurs scolaires et avec des exemples à l’appui, l’auteur expose les différentes formes de la dévalorisation scolaire et de la souffrance qui en résulte pour certains élèves, ainsi que les stratégies d’adaptation qu’ils mettent en branle pour garder le moral et se donner du mérite quand rien ne va à l’école. Reconnaissant une absence d’analyse du milieu éducatif sur les conditions menant à la disqualification scolaire, voire à la marginalisation sociale, il partage la conviction que l’école doit être repensée et inspirée par une culture de la reconnaissance de la différence. À cet égard, il invite les différents acteurs scolaires à une démarche de réflexion sur les effets dévastateurs des diagnostics attribués aux élèves considérés comme apprenants en difficulté, sur les regroupements scolaires réputés être dévalorisants par certains élèves ainsi que sur les idées préconçues et préjudiciables envers les élèves qui ne peuvent répondre aux attentes du « bon élève ». Parallèlement, il convie les écoles, peu importe le niveau scolaire, à souscrire à une démarche de réparation dans laquelle les élèves, éprouvés par un manque de considération durant leur parcours scolaire, puissent s’exprimer sur leurs malaises et doléances, répliquer aux tords subis et relancer leur rapport avec l’école et avec leurs accompagnateurs scolaires.

     

     

    Par ailleurs, il insiste à ce que nous revoyons nos conceptions du développement scolaire et de son fonctionnement de façon à rendre l’école plus démocratique et moins stigmatisante ; entre autres, en bonifiant la notion d’intelligence par le concept « d’intelligences multiples », par une extension des valeurs définissant le mérite scolaire et par une reconnaissance des parcours scolaires atypiques des élèves. Selon la description qu’il en fait, de telles écoles existeraient faisant montre d’audace et de créativité.

     

     

    Pour conclure, l’auteur nous rappelle qu’une école se voulant inclusive et égalitaire est un leurre si elle n’est pas soutenue par une reconnaissance de la différence, par les modalités et les relations qui s’y prêtent. Une école où des accompagnateurs à tous les niveaux ne veulent plus se satisfaire de voir des élèves fonctionner en marge des autres.

     

     

    Pour interagir avec l’auteur sur ce texte ou pour le rejoindre alaindrolet@hotmail.com.

  • Consultation publique sur la réussite éducative

    Consultation publique sur la réussite éducative

    Ce document a été déposé le 11 novembre 2016, afin de présenter la position des membres de l’AQIFGA concernant les consultations sur la réussite éducative du ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, monsieur Sébastien Proulx.

     

    AQIFGA-Mémoire sur la Réussite éducative  Télécharger